[Tribune] Oyez, Vertacomicoriens ! L’unité de notre « Forteresse » est gravement menacée !
CŒUR DE VERCORS ? « Oyez, habitants du Vercors ! Oyez, Vertacomicoriens ! l’Unité de notre « Forteresse » est gravement menacée !
A aussi tous ceux qui ne lisent pas assidûment www.initiatives-vercors.fr, qui n’assistent pas aux trop rares réunions publiques concernant l’avenir du Vercors, qui n’écoutent ou ne lisent pas ce qui se dit à ce sujet, « en espérant qu’il le fasse enfin », voici : j’attendais avec impatience que les élus du Vercors Sud se manifestent [1], pour pouvoir les soutenir avec mon modeste article ; car n’étant pas française mais profondément européenne, j’habite le Vercors Nord depuis vingt-deux ans, ce qui m’a donné le temps de m’y attacher, de découvrir le sud et donc me considérer vertacomicorienne même si je n’ai pas quatre ou cinq générations d’ancêtres au cimetière de Méaudre, où j’ai habité vingt ans.
Depuis l’an dernier, et même un peu avant, il circule, entre les élus « du Vercors et du Royans réunis », quelques nouvelles alarmantes quant au devenir de notre région que d’aucuns, d’une autre région nordique, pas si éloignée, veillent à disloquer avec ardeur. Il a fallu plusieurs semaines avant que les élus associés ne se réveillent et se secouent… « Voilà qui est fait », m’est-il dit, « mais entre nous l’entente n’est pas du tout unanime, puisque dès le début la Maire de la « capitale » du Vercors du nord, Chantal Carlioz, (ndlr : également présidente départementale, en charge au Conseil départemental du tourisme de la montagne et des stations) ne veut rien entendre sauf elle-même et ses idées dissidentes quant à l’unité du Vercors, en phases avec un avenir très personnel. Dans son sillage suit le Maire de Lans-en-Vercors, Michaël Kraemer et éventuellement la commune d’Engins ».
Dans son récent livre, « Ce que je ne pouvais pas dire » Michel Debré, ancien Président du Conseil constitutif (2002-2007), écrit : « … les politiques ne s’intéressent qu’à eux » ; il en sait long sur le sujet.
Dans l’article du 3 février dernier [2], il était question « des enjeux du Vercors » dans l’éditorial du Maire de Saint-Julien, Monsieur Pierre-Louis Fillet, Président de la CCV, et porte-voix des maires des communes du Vercors Sud et de la vallée de la Bourne, Rencurel, Châtelus et Pont-en-Royans, rejoignant la grande idée du Président de la CCMV, Monsieur Pierre Buisson, qui est de les inclure dans la création d’une Communauté de communes « Cœur de Vercors » : « … Dans tous ces domaines, notre volonté est, je le dis et le redis, que nous ne pouvons pas nous passer d’eux », répétait-il, un vendredi soir de janvier dernier, à l’occasion de la cérémonie des vœux du Maire et de ses adjoints à la population de Corrençon en Vercors.
Suite à mon article concernant la revue de Saint-Julien, « Lou Becan », une très bonne connaissance de Villard-de-Lans m’a mise en garde, sans chanter, « quelqu’un m’a dit que tu allais trop loin et que tu devais faire très attention »… C’est un fait, j’étais sortie du Vercors et j’étais descendue jusqu’à Fontaine...
Le 12 avril dernier, je rencontrais, en Mairie méaudraise, le Maire de cette nouvelle grande commune, Autrans-Méaudre, Monsieur Hubert Arnaud, pour lui demander son avis sur la question épineuse ; lui qui est proche de l’ancien Maire de Méaudre, Monsieur Pierre Buisson, actuellement Maire délégué auprès de cette nouvelle commune, tout en étant Président de la CCMV ; laquelle nouvelle commune s’est formée en douceur, sans trop informer les habitants qui ont été presque mis devant le fait accompli. Cela avait commencé, en 2014, avec l’union des Offices de Tourisme des deux villages, à laquelle personne, ou presque, n’avait attaché trop d’importance faute d’en avoir été averti officiellement, bien avant.
De ce fait, une association, « Méaudre veille au grain », s’est constituée le 18 décembre 2015 [3], afin « de vouloir davantage d’informations et de concertations avec les élus des deux communes concernant cette nouvelle et unique commune ». Certes, cela est fort bien, mais l’avenir tout proche de l’entité du Vercors n’est-il pas plus important actuellement ? Il semble que c’est, avant tout, ce qui compte pour arriver à solutionner tous les soucis internes !
J’avais demandé au premier adjoint au Maire de Rencurel, Monsieur Christian Stanzer de bien vouloir m’accompagner à mon rendez-vous avec le Maire d’Autrans-Méaudre ; l’avenir de Rencurel, au sein du Massif du Vercors concerne cette commune au même titre que celui des autres citées dans la « Lettre ouverte à nos amis des Quatre-Montagnes, élus et habitants ».
C’était un plaisir de revenir en la Mairie de Méaudre « la forestière », village-bijou serti au creux d’un cirque de montagnes vertes et mystérieuses.
Ce fut aussi une « première » pour Christian Stanzer qui, bien que voisin par derrière les crêtes du Pas de la chèvre, n’avait jamais eu l’occasion de monter en cette Mairie, ni de faire son marché sur la place… D’emblée, Hubert Arnaud nous réserva, un accueil chaleureux.
Après quelques échanges agréables sur des sujets divers, je lui ai fait part de mon inquiétude à l’idée de voir notre cher Vercors éclater en tous sens, non par l’éclatement intensif de son calcaire urgonien, vieux de millions d’années, mais par la volonté d’une minorité d’élus dénués de fibre vertacomicorienne...
HvZ : Ce qui m’a fait souhaiter vous rencontrer, accompagnée par Monsieur Stanzer, c’est la volonté d’avoir un avis patenté sur ce qui se passe dans les Quatre-Montagnes au sujet de l’Union du Vercors, ce que vous en pensez à Méaudre ?
H.Ar : Ce qu’on en pense nous autres ! Nous, à Méaudre, et puis presque dans toutes les communes, nous allons dans ce sens que l’idée « Cœur de Vercors » est incontournable.
Il y a deux problèmes : 1) d’abord Rencurel, Pont-en-Royans et Châtelus, qui font partie de la Communauté de Communes de La Bourne à l’Isère (CCBI), aujourd’hui ; notre souhait est de rallier ces quatre intercommunalités pour qu’il n’y ait pas deux Vercors : que le Royans-Drôme et le Royans-Vercors fusionnent. Quand je dis « nous » ce sont les quatre Maires d’Autrans, de Méaudre, de Corrençon, de St-Nizier ainsi que Pierre Buisson, Maire délégué à Méaudre et Président de la CCMV. Bon, Lans et Villard sont nettement moins « franc du collier » sur ce sujet.HvZ : c’est peu de le dire !
H.Ar : C’est ce que « nous » voulons.
Donc, 2) nous, l’avons dit au Préfet « voilà ce que nous souhaitons » ; et le Préfet, à l’époque, a dit « non, ce n’est pas comme cela que ça se passe, La Bourne à l’Isère vont aller à Saint-Marcellin. S’il y a des communes « dissidentes » qui veulent aller avec vous (CCMV), une fois qu’elles auront intégré la nouvelle interco de Saint-Marcellin (ndlr : 1/1/2017), les trois ou quatre communes, peut importe, qui voudront sortir le feront à ce moment-là et intègreront la nouvelle interco » (ndlr : 1/1/2018). Ça, c’était par rapport de la Bourne à l’Isère.
Cela ne nous (ndlr : les Maires susnommés + la CCMV) plaisait pas, parce que nous voulions faire tout ensemble. Après, il y a l’histoire de la Communauté de Communes du Vercors (CCV) et de la Communauté de Communes du Pays du Royans (CCPR), donc Saint-Nazaire et La Chapelle, et « nous », quand je dis « nous » ce sont les cinq maires que je citais tout à l’heure, nous voulons faire cette union tout de suite.HvZ : C’est ainsi que je l’entends… ce serait un an de perdu …
H.Ar : Oui, c’est du temps perdu et eux (CCV et CCPR) nous disent : Ecoutez, d’après la Loi, au 1er janvier 2017 il va falloir que l’on soit ensemble, parce qu’à La Chapelle il y a un peu plus de 3.000 habitants (ndlr : dont 675 dans le village), et cette Loi les oblige à se mettre avec une autre interco parce qu’il faut un minimum, de 5.000 habitants pour une commune de montagne afin d’obtenir une dérogation. C’est vrai que nous, à la CCMV nous sommes 12.000 habitants, on peut rester tout seul, pas de problème. Mais La Chapelle est obligée de se rattacher à la Communauté de Communes du Pays du Royans (CCPR), du coup, et ils nous disent : « c’est bien gentil, nous aurons fait tout le travail en 2017, et si on veut vous rejoindre, la préconisation étant de le faire au 1er janvier 2018, nous devrons le faire en deux fois, ce n’est pas possible. Faire le travail en deux fois, pour rien du tout, autant qu’on y aille doucement tout de suite ».
Donc nous, les cinq maires, nous étions partis sur cette volonté. Le problème aujourd’hui, alors que nous n’avons pas fait un vote officiel à la CCMV, est que le Président, comme nous, sentions que cela risquait de ne pas passer ou d’être juste ; Villard notamment et Lans entre autres, trainent les pieds ; il faut être honnête, je vous dis les choses telles qu’elles sont : surtout Villard traine des pieds. Pourquoi ?HvZ : Pourtant, ils font partie du Vercors depuis la nuit des temps et ils étaient tous soudés pendant la guerre de 39-45…
H.Ar. : Oui. Chantal Carlioz a des torts, mais sa population aussi puisque « le villardien » veut rester le villardien avant d’être vertacomicorien. C’est leur unique souci, et donc leur Maire rapporte cette parole. Je pense qu’elle a tort et devrait les convaincre que Villard fait partie du Vercors.
Nous, la CCMV, avons donc demandé au Préfet de déroger, d’attendre la fusion au 1er janvier 2018. Du coup, ils ne sont pas contents là-bas (ndlr : dans le sud) et nous disent « on voit que vous trainez des pieds ; puisque c’est ainsi, nous allons partir soit à Saint-Marcellin soit à ROVALTAIN (ndlr : Roman, Valence et Tain-L’Hermitage) », la grande interco. C’est ce que nous (CCMV) disons depuis le début, et c’est ce que je dis depuis le début, NOUS, très haut et très fort, c’est qu’au jour où ils partiront, nous serons tout seuls, douze mille habitants au milieu d’une interco de ROVALTAIN et ses milliers d’habitants d’un côté, et la Métro de l’autre. Douze mille habitants ! C’est alors qu’au premier jour le Préfet dira : « Messieurs cela suffit la plaisanterie, vous allez à la Métro », c’est ce que nous ne voulons pas.Ch.S : Oui, plus de choix possible…
H.Ar : Voilà, et quand nous serons à la Métro, il sera trop tard. Cela je l’ai dit aussi haut et fort, c’est la raison pour laquelle nous voulons que les élus s’engagent ; je veux savoir les noms, je veux savoir qui fait blocage ; parce que le jour où nous serons à la Métro, je ne voudrai pas entendre « ah, nous ne savions pas, on ne nous l’avait pas dit ! » parce qu’à mon avis, parti comme c’est parti, c’est inéluctable. Nous sommes deux départements, tant que nous restons ensemble on est tranquille, que les autres communes viennent nous rejoindre après, cela ne pose pas de problème, mais si on les laisse partir, à mon avis, nous (la CCMV) sommes foutus (ndlr : il y a un risque qu’ils ne reviennent pas dans le Vercors). Donc, le Préfet a accepté de déplacer la date buttoir au 1er janvier 2018.
(Hubert Arnaud nous parle alors des nombreux échanges, parfois houleux, qu’il y a eu avec la maire de Villard-de-Lans afin de la convaincre de reconnaître la pertinence de leurs propos (CCMV, CCV, CCPR, …), jusqu’à lui rappeler qu’en partant à la Métro, la CCMV n’aura plus la majorité : 24 contre 26 ou 27…)
Ch.S : D’autant que ton voisin à Lans votera contre toi !
H.Ar : Oui, bien entendu, il la suivra ; et nous lui avons rappelé que le jour où elle se retrouvera à la Métro, la perception risquera bien d’être fermée et la gendarmerie sera en bas, entre autres : « Nous, CCMV, 12.000 habitants, ne serons plus rien ! »…. Bien sûr, d’ici le 1er janvier 2018, en admettant que Chantal Carlioz marche avec nous, il y aura beaucoup de points à régler entre présidents de la CCMV, CCV, CCPR… et il faudra aller vite de telle sorte que d’ici six ou sept mois, dès que l’on aura bien avancé dans le travail, l’on puisse organiser un vote à la CCMV, afin de savoir si l’on se prononce pour la fusion ou pas ; mais ce sera un vote à main levée. Je pense qu’à la CCMV nous avons une majorité, je ne sais pas si Villard à une majorité de blocage, ils ont 8 ou 9 délégués mais je sais que deux personnes de leur opposition sont tout à fait favorable à notre projet et voteront avec nous ; à Lans il y a Jean-Paul Gouttenoire (ndlr : l’ancien maire) qui est tout à fait favorable et votera avec nous ; Engins, on ne sait pas trop, parce que certains veulent aller à la Métro…. On les laissera partir, ce n’est pas un problème ; à Saint-Nizier ils sont farouchement avec nous.
HvZ : Saint- Nizier !? A l’autre bout de Lans, c’est génial !!
H.Ar. : Ah oui, il n’y a aucune ambiguïté.
Ch.S : C’est l’esprit Massif qui est resté avec les « anciens », ce n’est pas comme dans certaines communes où il y a des maires qui n’ont pas cet esprit.
H.Ar : Oui, tout à fait ; Corrençon sera aussi avec nous, comme Autrans-Méaudre où il y a 6 délégués, c’est oui. Globalement, nous aurons la majorité ; il reste à revoir les textes par rapport à cette majorité qualifiée pour savoir si à Villard ils n’ont pas cette majorité de blocage, il y a tellement de textes par rapport à ces nouvelles intercos… Mais il y a un sénateur qui, par rapport aux intercos, a demandé un report d’un an, donc au 1er janvier 2018, ce qui a été accepté mais le texte n’est pas encore passé (ndlr : au 12 avril dernier).
Du coup, nous sommes contents et cela évitera à la CCV et CCPR de faire doublement le travail et nous permettra de les rencontrer rapidement. Nous, si Chantal Carlioz traine des pieds, nous irons de l’avant, car il y a un moment où il faut prendre ses responsabilités. Je pense que si l’on fait un sondage au niveau de l’interco, en demandant aux habitants ce qu’ils préfèrent : « aller à la Métro ou rester Vercors », je pense « qu’il n’y pas photo ».
HvZ : Voilà, on y est, pourquoi est-ce que vous tous, les élus qui travaillez à ce grand projet Massif du Vercors Uni, n’organisez pas un vaste referendum pour tous les habitants du Vercors, français ou pas, d’abord en les mettant au courant, car tous ne le sont pas et, ensuite, pour leur demander leur avis par rapport à cette grande idée ?
H.Ar : Oui, mais il faut déjà que nous puissions travailler entre nous pour avoir quelque chose de solide à proposer aux habitants, aujourd’hui nous devons pouvoir répondre à toutes leurs questions. Si ce report d’un an, au 1er janvier 2018, passe, cela nous permettra de nous mettre en ordre de marche… Le Vercors c’est notre entité, c’est notre ADN… Je vous raconte une petite anecdote : nous, la CCMV, voulions sponsoriser les athlètes et leur mettre un bandeau « VERCORS » et les élus de Villard on dit « non, non, nous gardons nos athlètes et l’on inscrit « VILLARD » ! Parce que Villard-de-Lans a plus d’importance que le Vercors. Ils (villardiens, élus compris) sont à côté de la plaque, ce n’est pas possible autrement. Partout dans le monde, on connait le Vercors, pas Méaudre ou Villard-de-Lans.
En fait, m’a rappelé le matin, Christian Stanzer, en cours de route, autrefois, Villard n’était rien qu’un petit village, c’était Lans-en-Vercors, une des portes d’entrées du Vercors, qui était le centre administratif…
L’entretien sur ce sujet poignant a encore duré une demie heure, l’on sentait fortement l’agacement et surtout la grande passion du Maire d’Autrans-Méaudre, Monsieur Hubert Arnaud, pour défendre très officiellement son point de vue mais aussi celui d’autres passionnés : les cinq maires des communes déjà citées, dont le Président de la CCMV, sans oublier Pierre-Louis Fillet, Président de la CCV et les maires du Vercors sud. Tous ne font qu’un, agissant pour le bien de l’ensemble des habitants du Vercors. Il y a tant à mettre au point, administrativement et financièrement, rapidement ! Chacun doit y mettre « du sien » pour sauver notre Vercors des griffes de ceux qui le craignent et veulent l’abattre. Il est évident que les maires, Chantal Carlioz et Michaël Kraemer, doivent changer leur orientation en se rappelant que les maires de la Drôme sont assez désabusés tout comme ceux de La Chapelle, St-Nazaire et les autres. Il n’y a aucun déshonneur à changer de route, au contraire. L’augmentation des impôts de 10 points sera évitée.
« Cette fusion est à la fois le futur et fait partie de l’Histoire du Vercors et de ces habitants », dit Hubert Arnaud qui en fait sa profession de foi.
Né à Autrans, habitant à Méaudre, Hubert Arnaud est, avec Pierre Buisson, le digne descendant de ces « anciens » vertacomicoriens qui jamais n’auraient supportés ni acceptés le démembrement de leur territoire, de leur Forteresse, « le VERCORS ».
Henrianne van Zurpele, pour www.initiatives-vercors ©- Rencurel 3 juin 2016.
Dessins : © Serge Lombard
Lire aussi :
– Dans Le Dauphiné Libéré du 4 mai 2016, page 19, les deux articles de J-B.V. (Jean-Benoit Vigny), dans lequel l’auteur ne nomme pas le « document » qu’il cite, à savoir : http://www.initiatives-vercors.fr/Lettre-ouverte-aux-amis-des-Quatre-Montagnes-elus-et-habitants
– L’article de Jean-Claude Prévost dans « ledauphiné.com » du 23 mai 2016
– "[Intercommunalités] Le Collectif Vercors Uni lance une pétition en ligne pour soutenir la cohésion des communes du Vercors." .
[3] Association déclarée à la préfecture de l’Isère. Objet : représenter la population auprès des instances officielles, transmettre, communiquer, partager les informations aux habitants, veiller au respect de l’identité et des intérêts du village, participer aux manifestations et animations locales.
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